On va suivre Amana, une petite fille belgo-japonaise.
Lors de son premier voyage familial pour le Japon, elle prononcera son premier mot : Uma, cheval en japonais. En cadeau sa grand- mère lui offre une statuette de cheval.
A son retour en belgique, la statuette prend vie et un esprit prenant la forme d’un cheval apparaît : Haru. Il décide de rester et de veiller sur elle.
J’aborde ce projet comme une recherche. J’essaie de comprendre la perte d’une culture dans le cas d’un métissage. Dans cette histoire je me replonge en enfance et reforme mon histoire personnelle. Car pour moi la « bataille » qui a lieux entre deux cultures - s’il y a bataille - est décisif pendant l’enfance. Après il est trop tard, les jeux sont fait.