Notre sujet s’axe sur la place et l’implantation des mouvements identitaires francophones à Bruxelles, ville multiculturelle et multilingue, capitale européenne au sein d’une Europe où l’on observe une percée des partis d’extrême droite dans de nombreux pays mais qui semble épargner la Belgique francophone. Relativement peu nombreux à Bruxelles et ne comptant pas un très grand nombre de militants actifs ni d’adhérents, ces groupuscules doivent en outre faire face à d’autres groupes identitaires plus présents tels que les mouvements flamands.