Ils sont une cinquantaine à courir à travers Bruxelles et traduire ce qu’on leur demande de traduire. Les interprètes en milieu social tentent chaque jour de résoudre des problèmes de communication entre des allophones et des agents, pour la plupart, des institutions publiques. Les interprètes permettent l’intégration de ces personnes qui ne parlent pas ou alors pas assez bien le français. Un travail qui permet de mieux faire cohabiter différentes cultures et différents parcours de vie dans une même ville. C’est aussi un métier particulier qui doit s’apprendre... pas toujours évident.