« Aphasie coloniale » évoque la question de la Saint-Nicolas à l’heure de la multiculturalité. Et plus particulièrement du personnage du père fouettard, controversé en raison du blackface qu’il arbore.
En 1957 au Congo belge, une petite fille voit le jour. Sans qu’elle le sache encore, elle se tient entre deux mondes. L’un est blanc, l’autre noir. Le gris, lui, n’existe pas.
Un mystérieux lac congolais raconte son histoire et celle de ses habitants, Hommes, arbres, poissons... La temporalité reste floue, il passe sans arrêt du temps de la colonisation belge à aujourd’hui, en tissant des liens entre certaines situations.