« Aphasie coloniale » évoque la question de la Saint-Nicolas à l’heure de la multiculturalité. Et plus particulièrement du personnage du père fouettard, controversé en raison du blackface qu’il arbore.
Un mystérieux lac congolais raconte son histoire et celle de ses habitants, Hommes, arbres, poissons... La temporalité reste floue, il passe sans arrêt du temps de la colonisation belge à aujourd’hui, en tissant des liens entre certaines situations.